« Mon histoire se situe à un moment précis : celui de la privatisation de TF1. Un matin, en conférence de rédaction, les journalistes apprennent que leur chaîne va être privatisée. Ils vont commencer par aller place de la République à Paris car “Mitterrand ne peut pas laisser faire ça.” Quelques mois plus tard, elle sera rachetée par Francis Bouygues. (…) Une télévision française fait le va-et-vient entre des consciences intimes qui s’ouvrent, et un rachat qui va tout au long des années imprimer et changer radicalement les consciences françaises. »
Thomas Quillardet, extrait de la note d'intention